Modification de Plastifieuse » Historique » Révision 2
Révision 1 (Thomas Trabattoni, 29/03/2014 11:35) → Révision 2/10 (Thomas Trabattoni, 29/03/2014 12:02)
Modification de Plastifieuse
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Dans le cadre de la fabrication de PCB, nous allons utiliser une plastifieuse à documents pour effectuer du transfert de toner <font color="red">Référence à préciser</font> .
Le concept est d'imprimé le typon du circuit à réaliser sur une imprimante laser sur un support 'bien choisi' (on y reviendra), d'appliquer ce support d'impression contre le cuivre en exerçant une pression et une chauffe, de façon à ce que la poudre de toner chauffée colle au cuivre.
Après cette opération, le support est retiré, et la poudre de toner protège le cuivre du circuit imprimé pour l'étape de la gravure.
Enfin, après gravure, la poudre de toner est retirée avec un solvant.
Pour exercer simultanément chauffe et transfert, avec les moyens du bord certains utilisent un fer à repasser... mais il existe une solution bien plus efficience avec un appareil conçu justement pour ça : une plastifieuse à documents.
Sauf que justement, elle n'est pas faite pour ça en réalité !
La différence entre plastifier un document et transférer du toner est essentiellement un changement de température, il faut chauffer beaucoup plus !
Voici ou nous en somme à l'Atelier :
Notre équipement de départ est une plastifieuse acheté d'occasion, qui est d'origine vendue chez "Lidl"
Elle est composée de deux rouleaux recouverts de silicone et dotés d'une résistance de chance. Les deux rouleaux sont entrainés en continu par un moteur électrique, enfin, une platine de régulation s'occupe de piloter la chauffe en fonction de la sélection de 'température' avec l'interrupteur en façade.
Je précise le terme température entre guillemets, car malgré l'info de Thomas que je n'ai pas enregistré sur le moment, j'étais persuadé que 80 et 125 étaient des indications de température, hors il s'avère que ce n'est pas le cas.
Par conséquent, tout ce qui suit n'est "pas juste", mais la démarche reste valable.
Pour ceux qui veulent se plonger dans les détails techniques, je vous incite à ouvrir le schéma qu'a trouvé Alex (l'autre, pas moi), après que la modification V1 ait été réalisée : http://brak-tu-sensu.pl/wp-content/uploads/2013/12/schemat_kh_4410.png
Donc, sur la plastifieuse KH 4410, il y a un interrupteur qui permet de sélectionner 80 / cold / 125
Sur le shéma, il est représenté par le double interrupteur noté "Change" et dans un encadrement gris.
En observant le circuit (sans ce schéma), j'ai découvert qu'en basculant cet interrupteur, on 'choisisait' entre deux résistance ou rien
80 : R19, mesurée à 11K
Cold : rien
125 : R17, mesurée à 8.11K (en fait à 8.2K en théorie)
En partant de cette mesure, et avec la fausse base que 80 et 125 indiquaient la température, la réflexion à été de retrouver la formule mathématique approximative liant T et R, très probablement de la forme Y = a.X + b (ça vous rappelle le collège/lycée ?)
Les notes sont restées à l'ACoLab, mais en définitive la solution retenue a abouti à substituer une des deux résistance par un potentiomètre de 5K + une résistance fixe de 2.2K
On à donc la possibilité de faire évoluer la résistance de réglage entre
2.2K(chauffe maximale) et 7.2K (chauffe minimale)
On aurait put utiliser un potentiomètre de 10K, mais ce montage présente un double intérêt :
il fixe une valeur de résistance en dessous de laquelle on ne descendra jamais, évitent pas conséquent de 'bloquer' la chauffe sur 'ON' et de tout faire fondre.
il permet d'utiliser un potentiomètre plus valeur plus faible, permettant un réglage plus fin, la gamme de température pour 'un tour' étant moins large.
Maintenant que (entre autre grâce au schéma qui confirme ce qu'avait indiqué Thomas) nous savons que ces marquages ne sont pas la température, et que donc les valeurs choisies ne sont en réalité pas adaptées, il faudra faire une correction, mais dans le principe, tout est la !
.AleX.
Note : lors des essais, je me suis interrogé sur le fonctionnement de la led verte notée 'OK' qui était incohérent.
Après étude du schéma, il s'avère que c'est simplement une 'temporisation', lorsque que l'on est en '80' ou '125', le condensateur C2 se charge doucement à travers la résistance R12, et au bout d'un moment, provoque l’allumage de la led
.. ça sera à modifier aussi !
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Dans le cadre de la fabrication de PCB, nous allons utiliser une plastifieuse à documents pour effectuer du transfert de toner <font color="red">Référence à préciser</font> .
Le concept est d'imprimé le typon du circuit à réaliser sur une imprimante laser sur un support 'bien choisi' (on y reviendra), d'appliquer ce support d'impression contre le cuivre en exerçant une pression et une chauffe, de façon à ce que la poudre de toner chauffée colle au cuivre.
Après cette opération, le support est retiré, et la poudre de toner protège le cuivre du circuit imprimé pour l'étape de la gravure.
Enfin, après gravure, la poudre de toner est retirée avec un solvant.
Pour exercer simultanément chauffe et transfert, avec les moyens du bord certains utilisent un fer à repasser... mais il existe une solution bien plus efficience avec un appareil conçu justement pour ça : une plastifieuse à documents.
Sauf que justement, elle n'est pas faite pour ça en réalité !
La différence entre plastifier un document et transférer du toner est essentiellement un changement de température, il faut chauffer beaucoup plus !
Voici ou nous en somme à l'Atelier :
Notre équipement de départ est une plastifieuse acheté d'occasion, qui est d'origine vendue chez "Lidl"
Elle est composée de deux rouleaux recouverts de silicone et dotés d'une résistance de chance. Les deux rouleaux sont entrainés en continu par un moteur électrique, enfin, une platine de régulation s'occupe de piloter la chauffe en fonction de la sélection de 'température' avec l'interrupteur en façade.
Je précise le terme température entre guillemets, car malgré l'info de Thomas que je n'ai pas enregistré sur le moment, j'étais persuadé que 80 et 125 étaient des indications de température, hors il s'avère que ce n'est pas le cas.
Par conséquent, tout ce qui suit n'est "pas juste", mais la démarche reste valable.
Pour ceux qui veulent se plonger dans les détails techniques, je vous incite à ouvrir le schéma qu'a trouvé Alex (l'autre, pas moi), après que la modification V1 ait été réalisée : http://brak-tu-sensu.pl/wp-content/uploads/2013/12/schemat_kh_4410.png
Donc, sur la plastifieuse KH 4410, il y a un interrupteur qui permet de sélectionner 80 / cold / 125
Sur le shéma, il est représenté par le double interrupteur noté "Change" et dans un encadrement gris.
En observant le circuit (sans ce schéma), j'ai découvert qu'en basculant cet interrupteur, on 'choisisait' entre deux résistance ou rien
80 : R19, mesurée à 11K
Cold : rien
125 : R17, mesurée à 8.11K (en fait à 8.2K en théorie)
En partant de cette mesure, et avec la fausse base que 80 et 125 indiquaient la température, la réflexion à été de retrouver la formule mathématique approximative liant T et R, très probablement de la forme Y = a.X + b (ça vous rappelle le collège/lycée ?)
Les notes sont restées à l'ACoLab, mais en définitive la solution retenue a abouti à substituer une des deux résistance par un potentiomètre de 5K + une résistance fixe de 2.2K
On à donc la possibilité de faire évoluer la résistance de réglage entre
2.2K(chauffe maximale) et 7.2K (chauffe minimale)
On aurait put utiliser un potentiomètre de 10K, mais ce montage présente un double intérêt :
il fixe une valeur de résistance en dessous de laquelle on ne descendra jamais, évitent pas conséquent de 'bloquer' la chauffe sur 'ON' et de tout faire fondre.
il permet d'utiliser un potentiomètre plus valeur plus faible, permettant un réglage plus fin, la gamme de température pour 'un tour' étant moins large.
Maintenant que (entre autre grâce au schéma qui confirme ce qu'avait indiqué Thomas) nous savons que ces marquages ne sont pas la température, et que donc les valeurs choisies ne sont en réalité pas adaptées, il faudra faire une correction, mais dans le principe, tout est la !
.AleX.
Note : lors des essais, je me suis interrogé sur le fonctionnement de la led verte notée 'OK' qui était incohérent.
Après étude du schéma, il s'avère que c'est simplement une 'temporisation', lorsque que l'on est en '80' ou '125', le condensateur C2 se charge doucement à travers la résistance R12, et au bout d'un moment, provoque l’allumage de la led
.. ça sera à modifier aussi !